Théâtre VerdunHors Théâtre de VerdunJeune publicArchivescalendrier global
théâtre
Il y a des saisons dont l'aspect hétéroclite constitue un des charmes, des programmes dans lesquelles les propositions théâtrales se suivent dans leur diversité, sans liens réels entre elles. 20/12 ne sera pas ainsi. Sans être pour autant monolithe. Nous bougerons, voyagerons, naviguerons d'un soir à l'autre entre les esthétiques, parmi la diversité du théâtre : ici, un univers très "rock" et déployé pour Suzy Storck, là, un intérieur en clair-obscur, intime et épuré avec Hedda ; ici, nous serons portés par la puissance et la poésie d'une langue "classique" (magnifique Racine), là, nous glisserons vers la truculence, l'absurde, la légèreté et la verdeur d'un Feydeau, inégalable inventeur de farces... Nous naviguerons, mais essentiellement, cette saison, à la rencontre de femmes : Suzy, Bérénice, Hedda, Clarisse (Mme Ventroux), toutes femmes et formidables personnages de théâtre, poignantes, drôles, incisives, désespérées ou révoltées (suivants les pièces et les moments), toutes fortes et belles. Pierre Meunier (Sécurilif) et David Séchaud (Le Gonze de Lopiphile) seront, avec leur inventivité et leur fantaisie, les troublions masculins de cette saison 20/21 sans parité.
classique
Petits commentaires sur le programmes 20/21 : le Quintette à cordes en ut majeur de Schubert (op. posth. 163), dit "Quintette à deux violoncelles", considéré à juste titre comme l'une des plus belles œuvres de la musique de chambre du XIXème siècle, interprété par le Quatuor Béla et Noémi Boutin vaudra à coup sûr le détour ; tout comme "Bastien et Bastienne", œuvre d'un Mozart encore enfant (12 ans mais déjà génial), donnée dans une version scénique alliant l'originalité d'un théâtre de marionnettes à la rigueur, la générosité musicale et vocale d'un orchestre de Picardie que nous retrouvons toujours avec plaisir ; la découverte du jeune Duo Metamorphis (Inès Prisca et Raphaël Laroche - piano/voix) dans un récital Vivaldi, Debussy, Ravel, ... clôturera une saison classique ouverte dès novembre par la pianiste suisse Béatrice Berrut et son programme Bach, Schumann, Liszt, ambitieux et virtuose.
découvertes
La crise de la COVID-19 nous a rappelé à quel point notre planète mondialisée qu'on nous disait "simple" pouvait s'avérer complexe, à quel point la "gestion" que nous en faisons ces derniers siècles pouvait s'avérer toxique pour cette planète, comme pour l'humanité. Pour autant, nous sommes humains, habités d'une curiosité (qui n'est pas qu'un vilain défaut), d'un besoin d'ailleurs, de rencontres et de découvertes. Il ne faut pas renoncer à cette curiosité, il faut la cultiver, l'aiguiser et lui donner du sens. Les artistes que cette saison 20/21 nous propose de croiser sont à coup sûr porteurs de sens : Marina Satti, jeune chanteuse grecques, détentrice d'un art polyphonique étonnant et porteuse des préoccupations de la jeunesse de son pays; Vardan Hovanissian (Arménie) et Emre Gültekin (Turquie) dans leur démarche d'invention d'une musique de paix et de réconciliation ; Rodolphe Burger (France mais Alsace) et Erik Marchand (Bretagne), deux monuments de la scène qui fusionnent pour témoigner encore ; enfin, le groupe Labess ("tout va bien" en arabe), chanteurs de liberté et de la croisée des mondes (Maghreb, France, Canada).
cirque
Le jeu des reports conséquents au récent confinement, nous amène à proposer une saison cirque 20/21 exceptionnelle par sa densité et sa diversité. Trois séries sous chapiteau : "Dans ton cœur", dès septembre, le spectacle événement de la Compagnie AKORÉACRO puis deux créations, "De A à zèbre" par Max et Maurice dans le cadre de "La nuit du cirque" 2020 et "Pandax" par Cirque La Compagnie en juin 2021 ; deux spectacles uniques en leur genre : "Burning" de et par Julien Fournier (un des best-sellers du cirque de ces dernières saisons après un passage à Avignon très remarqué) et "Parbleu !" par l'Atelier Lefeuvre et André (duo inimitable) ; deux tournées en réseau : "L'herbe tendre", production forte, drôle et sensible de Galapiat Cirque (dès octobre) et "Un soir chez Boris" (sous yourte), trappeur des banlieues, acrobate et amateur de chansons d'amour des années 80. Tout un programme. Sept spectacles, sept propositions artistiques très fortes et pour tous à rencontrer avec passion et sans modération.
Le calendrier global
mars, 2021
Catégorie
Tous
Autre
Catégorie
Centenaire
Cirque
Danse
Jeune public
Musique
Découverte
Théâtre
Type
Tous
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Réseau jeune public
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- Event Name
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lun08mar20:30REPORT BéréniceJean Racine20:30 Catégorie:ThéâtreType:Abonnement
Réservation
Prix 9,00€ – 18,00€
CommandezQui
mise en scène Isabelle Lafon
avec Karyll Elgrichi
(ou Isabelle Lafon)
Pierre-Félix Gravière
Johanna Korthals Altes
Judith Périllat
assistanat Marion Canelas
lumières Jean Bellorini
costumes Nelly Geyres
production THÉÂTRE GÉRARD PHILIPE
CDN – Saint-Denis.
coproduction LES MERVEILLEUSES
MC2/Grenoble.
soutien Région Île-de-France
durée 1h15
Présentation
« Arrêtons un moment... ». Bérénice commence comme ça. On arrête un moment de vie, on le suspend tellement il est fort. Ce n'est pas juste, d'ailleurs, de dire cela
Présentation
« Arrêtons un moment… ». Bérénice commence comme ça. On arrête un moment de vie, on le suspend tellement il est fort. Ce n’est pas juste, d’ailleurs, de dire cela car elle commence par la préface de Jean Racine, par cette voix que j’imagine du vieil homme : « C’est-à-dire que Titus, qui aimait passionnément Bérénice, et qui lui avait promis de l’épouser, la renvoya de Rome, malgré lui, malgré elle, dès les premiers jours de son empire. ». Et nous, assis autour d’une table, nous l’écoutons, prêts à bondir. On peut dire que Racine met la langue dans tous ces états. Mais il y a Rome : « Non, pas de reine étrangère ». Bérénice la juive, Titus le Romain et Antiochus l’Arabe. Qu’est-ce qui empêche d’aimer ? Pas de mélodie chez Racine mais l’existence du contrepoint toujours. Tout avance en même temps : ils jouent, ils sont le regard, et la préface… Le Théâtre écoute. Je n’arrive pas à envisager une distribution classique. Je me pose la question d’un groupe capable de recevoir la confidence de Racine. De la soutenir, de s’y plonger, de s’y laisser prendre. J’ai du mal à imaginer qu’un spectacle puisse être fini une fois les répétitions achevées. Nous avons commencé Bérénice avec cinq comédiens. Puis une autre version s’est imposée en tournée avec quatre resserrant le propos. Nouvelle approche d’une même mélodie. » Isabelle Lafon
presse : « Sans costumes d’époque, sans actualisation non plus, sans dire tout le texte pour en toucher le coeur, Isabelle Lafon et ses partenaires signent une version follement vibrante de la pièce de Racine. Une page de l’histoire des représentations de Bérénice s’écrit là devant nous. Reprenons-en le fil à celle de Planchon puis à la Bérénice d’Antoine Vitez. La Bérénice d’Isabelle Lafon semble comme regardée avec bienveillance et amicalité par ces maîtres disparus. Elle ne joue pas des pièces, elle va, le coeur battant, à leur rencontre. » Jean-Pierre Thibaudat – Médiapart
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
20:30
mar09mar20:30REPORT BéréniceJean Racine20:30 Catégorie:ThéâtreType:Abonnement
Réservation
Prix 9,00€ – 18,00€
CommandezQui
mise en scène Isabelle Lafon
avec Karyll Elgrichi
(ou Isabelle Lafon)
Pierre-Félix Gravière
Johanna Korthals Altes
Judith Périllat
assistanat Marion Canelas
lumières Jean Bellorini
costumes Nelly Geyres
production THÉÂTRE GÉRARD PHILIPE
CDN – Saint-Denis.
coproduction LES MERVEILLEUSES
MC2/Grenoble.
soutien Région Île-de-France
durée 1h15
Présentation
« Arrêtons un moment... ». Bérénice commence comme ça. On arrête un moment de vie, on le suspend tellement il est fort. Ce n'est pas juste, d'ailleurs, de dire cela
Présentation
« Arrêtons un moment… ». Bérénice commence comme ça. On arrête un moment de vie, on le suspend tellement il est fort. Ce n’est pas juste, d’ailleurs, de dire cela car elle commence par la préface de Jean Racine, par cette voix que j’imagine du vieil homme : « C’est-à-dire que Titus, qui aimait passionnément Bérénice, et qui lui avait promis de l’épouser, la renvoya de Rome, malgré lui, malgré elle, dès les premiers jours de son empire. ». Et nous, assis autour d’une table, nous l’écoutons, prêts à bondir. On peut dire que Racine met la langue dans tous ces états. Mais il y a Rome : « Non, pas de reine étrangère ». Bérénice la juive, Titus le Romain et Antiochus l’Arabe. Qu’est-ce qui empêche d’aimer ? Pas de mélodie chez Racine mais l’existence du contrepoint toujours. Tout avance en même temps : ils jouent, ils sont le regard, et la préface… Le Théâtre écoute. Je n’arrive pas à envisager une distribution classique. Je me pose la question d’un groupe capable de recevoir la confidence de Racine. De la soutenir, de s’y plonger, de s’y laisser prendre. J’ai du mal à imaginer qu’un spectacle puisse être fini une fois les répétitions achevées. Nous avons commencé Bérénice avec cinq comédiens. Puis une autre version s’est imposée en tournée avec quatre resserrant le propos. Nouvelle approche d’une même mélodie. » Isabelle Lafon
presse : « Sans costumes d’époque, sans actualisation non plus, sans dire tout le texte pour en toucher le coeur, Isabelle Lafon et ses partenaires signent une version follement vibrante de la pièce de Racine. Une page de l’histoire des représentations de Bérénice s’écrit là devant nous. Reprenons-en le fil à celle de Planchon puis à la Bérénice d’Antoine Vitez. La Bérénice d’Isabelle Lafon semble comme regardée avec bienveillance et amicalité par ces maîtres disparus. Elle ne joue pas des pièces, elle va, le coeur battant, à leur rencontre. » Jean-Pierre Thibaudat – Médiapart
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
20:30
Réservation
Prix 9,00€ – 18,00€
CommandezQui
Inès Prisca soprano
Raphaël Laroche piano
Antonio VIVALDI
Vedrò con mio diletto
Il Giustino
Domine Deus – Gloria
Claude DEBUSSY
Arabesque n°1
Ariettes oubliées
Clair de lune
Suite Bergamasque
Nuit d’étoiles
Beau soir
Feu d’artifice
Maurice RAVEL
Chants populaires
George CRUMB
Spring fire and Dream image
Three early songs
Présentation
Inès Prisca commence très tôt l’étude de la musique dans la classe d’Emmanuelle Mousset au conservatoire Gustave Charpentier de Paris. À l’âge de 9 ans elle intègre la Maîtrise de
Présentation
Inès Prisca commence très tôt l’étude de la musique dans la classe d’Emmanuelle Mousset au conservatoire Gustave Charpentier de Paris. À l’âge de 9 ans elle intègre la Maîtrise de Radio-France, où elle acquiert une solide formation musicale. Durant ce cursus, elle participe à de nombreux concerts sous la direction de chefs prestigieux tels que Kurt Masur, Georges Prêtre, Myung Whun Chung, Yutaka Sado, Marc Minkowski, Charles Dutoit, Riccardo Muti (…) Elle entre ensuite dans la classe de chant lyrique de Gisèle Fixe au conservatoire Erik Satie du 7ème arrondissement, tout en suivant des études universitaires en cinéma et audiovisuel à la Sorbonne Nouvelle et de jazz vocal au Conservatoire Nadia et Lili Boulanger, dans la classe de Guylenn Delassus. Elle suit une formation de comédienne au Studio spectacle Acting International avec Robert Cordier puis dans les workshops de Jack Waltzer. Elle suit actuellement un cursus de chant lyrique avec Caroline Fèvre.
Raphaël Laroche, formé au Conservatoire de Rouen par Ursula Von Lerber, il intègre ensuite le Pôle d‘Enseignement Supérieur de la musique Île-de-France où il obtient son diplôme dans la classe de Bruno Perbost en 2014. Parallèlement, il approfondit sa formation avec Marie-Joseph Jude, Jean-François Heisseret Pascal Nemirovski avec lequel il étudie un an à la Royal Academy of Music de Londres. Passionné par la pédagogie, il obtient son diplôme d’état au Pôle Sup’93 et enseigne depuis 2016 le piano au Conservatoire du Grand Verdun. En tant que soliste, accompagnateur et improvisateur il est amené à se produire régulièrement dans des événements comme le festival « tous en scène ! » ou « Il était une voix » au théâtre d’Aulnay-sous-bois avec Didier Grojsman. Il se produit en 2019 avec Inès Prisca dans un concert-théâtre, « Le bureau des enfers », présenté au théâtre du Gouvernail et à l’Auguste Théâtre ; ensemble, ils choisissent de commencer une nouvelle aventure musicale en duo.
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
20:30
Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
Organisé par
Transversales
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55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
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Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
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« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
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Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
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« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
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« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
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Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
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Toto compania/Toul
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« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
sam20mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
dim21mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
lun22mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
mar23mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
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00:00
mer24mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
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00:00
jeu25mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
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55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
ven26mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
Présentation
« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
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1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
sam27mar00:00REPORT Un soir chez BorisOlivier Debelhoir00:00 Catégorie:CirqueType:Réseau
Qui
de et par Olivier Debelhoir
co-écriture Pierre Déaux
régie Michaël Philis
construction Olivier Debelhoir, Charles Teillet
administration Nicolas Ligeon
production Camille Foucher
prod. déléguée BALLET COSMIQUE
coproduction le Carré Magique PNC / Lannion Trégor
CIRCA PNC / Auch
Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAR
la Verrerie d’Alès en Cévennes PNC
Théâtre Europe PNC méditerranée
Théâtre de Die, le Serre/Barnave
Orphéon, le Cheptel Aleïkoum
la Chebaudière
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d'amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa
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« Boris, il est artiste de cirque. Trappeur des banlieues, amoureux des ours et des chansons d’amour des années 80, il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. Son enjeu : ses jeux. Devant cent personnes, il tisse ses digressions, ses visions. Son accordéon, c’est son piment. Ça l’occupe de plus en plus ces derniers temps. Ça l’excite, le multiplie. En revanche, son looper le pose, le rafraîchit. Il s’invente de l’air. Le vent se lève dans sa tête et le tient en équilibre. Cow boy actuel, funambule de proximité, sa barbe, je me demande bien ce qu’il en est… Mon ami Boris, c’est l’autre, dans ma tête, peut-être bien celui de la soirée disco, qui toque à la porte du chapiteau mais que je tiens pas tellement à laisser entrer de suite car on est déjà beaucoup trop. » Pierre Déaux
« On essaie toujours de faire le spectacle du siècle. Pierre m’avait bien dit en début de création il y a 2 ans et demi : « ton problème, c’est que tu essaies de faire le spectacle du siècle ». Du coup, j’ai essayé de le faire mentir et de prendre ça à la légère. Mais je n’ai pas réussi. J’ai cherché à faire le spectacle du siècle. Du moins mon spectacle du siècle. Y suis-je arrivé ? Peut-être… » Olivier Debelhoir
presse : « En fait, il est complétement barré, Boris, et très attachant. Il est seul dans sa yourte et plein dans sa tête. De digressions en visions, il nous embarque dans son monde peuplé d’anti-héros. Quand le vent se lève entre ses neurones, il tient malgré tout l’équilibre. C’est très vite l’escalade avec lui, il va tout schuss, mais jamais droit dans le mur. Funambule de proximité, il vole haut. Chapeau bas ! » Léa Martinelli / Les trois coups
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
mar30mar20:30Parbleu !Atelier Lefeuvre et André20:30 Catégorie:CirqueType:Abonnement
Réservation
Prix 9,00€ – 18,00€
CommandezQui
de et avec Didier André, Jean-Paul Lefeuvre
lumières Philippe Bouvet
production ATELIER LEFEUVRE & ANDRÉ
coproduction Scène nationale de l’Essonne, Agora-Desnos
soutiens Théâtre d’Auxerre
Teatro Dimitri de Verscio (CH)
Forman Brothers Theatre (CZ)
complicité La Grenouillère de La Madelaine-sous-Montreuil.
Présentation
Voilà bientôt vingt ans qu’ils se tirent le maillot avec une complicité toujours plus naturelle et un amour de la blague bien faite qui ne tolère pas le compromis. Patiemment,
Présentation
Voilà bientôt vingt ans qu’ils se tirent le maillot avec une complicité toujours plus naturelle et un amour de la blague bien faite qui ne tolère pas le compromis. Patiemment, année après année, Jean-Paul Lefeuvre et Didier André affirment leur attachement à une forme d’artisanat modeste, faisant d’eux les adeptes d’une sorte de “slow cirque”. Ce nouveau spectacle aspire à un minimalisme qui met en scène l’esprit même de cet artisanat. Exploitant jusqu’au trognon des accessoires trouvés au fond de leur atelier (une planche, une truelle, une boule de pétanque, une masse de chantier…), ils détournent ces ustensiles d’apparence banale avec une dextérité méticuleuse. Entre leurs mains, ces objets mis en mouvement et en lumière ont plus qu’une âme, ils deviennent complices, partenaires. Le cercle n’étant plus leur rayon, ils évoluent désormais dans un rectangle qui évoque tour à tour un terrain de pétanque, un court de tennis ou un billard géant mais dont toujours le règlement intérieur est celui du bac à sable : toutes les fantaisies sont permises à condition qu’elles s’incarnent avec application. Se prendre au jeu sans se prendre au sérieux, voilà la plus périlleuse de leurs acrobaties. Tout ceci contribue à créer un univers où l’absurde s’étire jusqu’au rire, où la poésie apparait comme le dénominateur commun de tous leurs efforts…
presse : « Ils font la paire, Didier et Jean-Paul, tant et si bien que, même en solos, ils sont inséparables. Tantôt adversaires, tantôt complices, ils ne peuvent s’empêcher de se titiller. Pourtant, ils ne peuvent pas se passer l’un de l’autre. Dégaines tordantes, mimiques hilarantes, postures toujours très justes, les numéros sont loufoques et pleins de malice, avec juste ce qu’il faut de mélancolie. Et comme ce ne sont pas que des clowns, ces acrobates réalisent de belles prouesses : pelles, tuyaux et autres agrès inattendus sont détournés pour le plus grand plaisir du public qui finit bluffé. Ils sont fortiches, Jean-Paul et Didier. » Léna Martinelli / France Culture
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
20:30
Théâtre VerdunHors Théâtre de VerdunJeune publicArchives