Réseau jeune public
Transversales poursuit son action de diffusion jeune public initiée à l’occasion de la Belle Saison Lorraine. La Belle Saison, initiative du Ministère de la Culture et de la Communication entend accompagner et amplifier toutes les dynamiques artistiques et les initiatives culturelles de qualité qui se tournent vers les nouvelles générations. La démarche jeune public de Transversales s’inscrit dans le prolongement des ateliers d’éducation artistique et culturels. La programmation des spectacles jeune public est pluridisciplinaire : théâtre, danse, cirque et musique.
Catégorie
Tous
Autre
Catégorie
Centenaire
Cirque
Danse
Jeune public
Musique
Découverte
Théâtre
Type
Tous
Abonnement
Ateliers
Partenariat
Réseau
Réseau jeune public
Type
Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
Danse butô Sayoko Onishi
Contrebasse et tuba Emmanuel Fleitz
costumes Marie-Joëlle Lamy
conseils Pierre Brière, Louis Baert, Francis Albiero
production MAN’OK ET CIE
coproduction Transversales
Toto compania/Toul
Schungfabrik/Tétange (Lux.) Pôle danse des Ardennes,
KUFA/Esch-sur-Alzette (Lux.)
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô
Présentation
« Le projet est né lors d’actions de médiation auprès d’enfants d’écoles primaires. Nous avons été très surpris de leur adhésion très directe à notre démarche singulière mélant danse butô et sons de contrebasse. En réponse, nous avons voulu créer un spectacle qui leur serait dédié, nourri de nos univers. Mais comment passer du côté sombre, obscur, caractéristique du butô à la lumière ? Le choix du paresseux, Namakemono en japonais, nous est apparu évident. Le butô maitrise la lenteur et sa technique, comme sa profondeur, permet de donner une vie grotesque et amusante à cet animal bien étrange qu’est Namakemono. Un premier spectacle / essais est né, Namakemono, où l’impossibilité de dresser l’indomptable. Un Ours, maître en domptage, tente de dresser un Paresseux. Il n’a peut-être pas choisi le bon animal pour exercer ses talents de dompteur, car le Namakemono est certes bien sympathique, mais lent et… paresseux ! La lenteur de la danse butô crée le personnage du Paresseux, qui à son tour crée naturellement la chorégraphie. La technique du butô qui permet d’exprimer les émotions intérieures va permettre de créer le caractère du personnage : les mimiques grotesques et les expressions démoniaques du butô vont se transformer ici en expressions tendres du Paresseux. C’est un exemple de passage de l’obscur à la lumière. La gestuelle joue un grand rôle dans la compréhension de l’histoire et le passage des émotions. Le réel (les gestes courants) et l’irréel (la lenteur des mouvements de Namakemono) se mêleront pour créer un monde imaginaire. » Emmanuel Fleitz
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
musique et mise en scène Joachim Latarjet
avec Alexandra Fleischer, Joachim Latarjet
collaboration Yann Richard
son Tom Ménigault
lumière Léandre Garcia Lamolla
vidéo Julien Téphany, Alexandre Gavras
costumes Nathalie Saulnier
production THÉÂTRE SARTROUVILLE CDN
coproducion COMPAGNIE OH ! OUI…
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont accompagnés enfants et qui, lorsque nous les relisons, nous frappent par leur violence. Comment enfant ai-je pu aimer une histoire si effrayante ? Sans doute parce qu’enfant nous aimons avoir peur… Nous savons que c’est « pour de faux », mais il est tellement agréable de ressentir ces choses-là, le frisson de la peur … Voilà pourquoi nous nous sommes souvenus du Joueur de flûte de Hamelin… une histoire sur la force de la musique… une histoire de trahison et de vengeance… Le conte est très court, deux pages à peine, mais l’histoire est saisissante. Une ville est infestée de rats, un joueur de flûte propose ses services pour l’en débarrasser. Les notables lui promettent une somme importante s’il réussit. Au son de la flûte les rats suivent le musicien qui les amène jusqu’à une rivière où il les noie. Il revient pour réclamer son dû, mais les habitants ne lui donnent que la moitié de la somme promise. Le musicien, pour se venger, attire les enfants de la ville au son de son instrument et part avec eux dans les montagnes. « Des enfants il n’y avait plus trace et personne n’a jamais su ce qu’il en était advenu. » Replacer cette histoire dans notre monde contemporain est une manière d’aborder avec les enfants la complexité des choses, le fait que l’être humain est particulièrement doué pour créer des problèmes et se compliquer la vie.» Joachim Latarget
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
musique et mise en scène Joachim Latarjet
avec Alexandra Fleischer, Joachim Latarjet
collaboration Yann Richard
son Tom Ménigault
lumière Léandre Garcia Lamolla
vidéo Julien Téphany, Alexandre Gavras
costumes Nathalie Saulnier
production THÉÂTRE SARTROUVILLE CDN
coproducion COMPAGNIE OH ! OUI…
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont accompagnés enfants et qui, lorsque nous les relisons, nous frappent par leur violence. Comment enfant ai-je pu aimer une histoire si effrayante ? Sans doute parce qu’enfant nous aimons avoir peur… Nous savons que c’est « pour de faux », mais il est tellement agréable de ressentir ces choses-là, le frisson de la peur … Voilà pourquoi nous nous sommes souvenus du Joueur de flûte de Hamelin… une histoire sur la force de la musique… une histoire de trahison et de vengeance… Le conte est très court, deux pages à peine, mais l’histoire est saisissante. Une ville est infestée de rats, un joueur de flûte propose ses services pour l’en débarrasser. Les notables lui promettent une somme importante s’il réussit. Au son de la flûte les rats suivent le musicien qui les amène jusqu’à une rivière où il les noie. Il revient pour réclamer son dû, mais les habitants ne lui donnent que la moitié de la somme promise. Le musicien, pour se venger, attire les enfants de la ville au son de son instrument et part avec eux dans les montagnes. « Des enfants il n’y avait plus trace et personne n’a jamais su ce qu’il en était advenu. » Replacer cette histoire dans notre monde contemporain est une manière d’aborder avec les enfants la complexité des choses, le fait que l’être humain est particulièrement doué pour créer des problèmes et se compliquer la vie.» Joachim Latarget
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
musique et mise en scène Joachim Latarjet
avec Alexandra Fleischer, Joachim Latarjet
collaboration Yann Richard
son Tom Ménigault
lumière Léandre Garcia Lamolla
vidéo Julien Téphany, Alexandre Gavras
costumes Nathalie Saulnier
production THÉÂTRE SARTROUVILLE CDN
coproducion COMPAGNIE OH ! OUI…
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont accompagnés enfants et qui, lorsque nous les relisons, nous frappent par leur violence. Comment enfant ai-je pu aimer une histoire si effrayante ? Sans doute parce qu’enfant nous aimons avoir peur… Nous savons que c’est « pour de faux », mais il est tellement agréable de ressentir ces choses-là, le frisson de la peur … Voilà pourquoi nous nous sommes souvenus du Joueur de flûte de Hamelin… une histoire sur la force de la musique… une histoire de trahison et de vengeance… Le conte est très court, deux pages à peine, mais l’histoire est saisissante. Une ville est infestée de rats, un joueur de flûte propose ses services pour l’en débarrasser. Les notables lui promettent une somme importante s’il réussit. Au son de la flûte les rats suivent le musicien qui les amène jusqu’à une rivière où il les noie. Il revient pour réclamer son dû, mais les habitants ne lui donnent que la moitié de la somme promise. Le musicien, pour se venger, attire les enfants de la ville au son de son instrument et part avec eux dans les montagnes. « Des enfants il n’y avait plus trace et personne n’a jamais su ce qu’il en était advenu. » Replacer cette histoire dans notre monde contemporain est une manière d’aborder avec les enfants la complexité des choses, le fait que l’être humain est particulièrement doué pour créer des problèmes et se compliquer la vie.» Joachim Latarget
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
musique et mise en scène Joachim Latarjet
avec Alexandra Fleischer, Joachim Latarjet
collaboration Yann Richard
son Tom Ménigault
lumière Léandre Garcia Lamolla
vidéo Julien Téphany, Alexandre Gavras
costumes Nathalie Saulnier
production THÉÂTRE SARTROUVILLE CDN
coproducion COMPAGNIE OH ! OUI…
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont accompagnés enfants et qui, lorsque nous les relisons, nous frappent par leur violence. Comment enfant ai-je pu aimer une histoire si effrayante ? Sans doute parce qu’enfant nous aimons avoir peur… Nous savons que c’est « pour de faux », mais il est tellement agréable de ressentir ces choses-là, le frisson de la peur … Voilà pourquoi nous nous sommes souvenus du Joueur de flûte de Hamelin… une histoire sur la force de la musique… une histoire de trahison et de vengeance… Le conte est très court, deux pages à peine, mais l’histoire est saisissante. Une ville est infestée de rats, un joueur de flûte propose ses services pour l’en débarrasser. Les notables lui promettent une somme importante s’il réussit. Au son de la flûte les rats suivent le musicien qui les amène jusqu’à une rivière où il les noie. Il revient pour réclamer son dû, mais les habitants ne lui donnent que la moitié de la somme promise. Le musicien, pour se venger, attire les enfants de la ville au son de son instrument et part avec eux dans les montagnes. « Des enfants il n’y avait plus trace et personne n’a jamais su ce qu’il en était advenu. » Replacer cette histoire dans notre monde contemporain est une manière d’aborder avec les enfants la complexité des choses, le fait que l’être humain est particulièrement doué pour créer des problèmes et se compliquer la vie.» Joachim Latarget
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00
Qui
musique et mise en scène Joachim Latarjet
avec Alexandra Fleischer, Joachim Latarjet
collaboration Yann Richard
son Tom Ménigault
lumière Léandre Garcia Lamolla
vidéo Julien Téphany, Alexandre Gavras
costumes Nathalie Saulnier
production THÉÂTRE SARTROUVILLE CDN
coproducion COMPAGNIE OH ! OUI…
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont
Présentation
« Après notre création de La Petite Fille aux allumettes, que nous avons jouée deux saisons durant, nous voulions continuer à explorer le territoire de ces contes qui nous ont accompagnés enfants et qui, lorsque nous les relisons, nous frappent par leur violence. Comment enfant ai-je pu aimer une histoire si effrayante ? Sans doute parce qu’enfant nous aimons avoir peur… Nous savons que c’est « pour de faux », mais il est tellement agréable de ressentir ces choses-là, le frisson de la peur … Voilà pourquoi nous nous sommes souvenus du Joueur de flûte de Hamelin… une histoire sur la force de la musique… une histoire de trahison et de vengeance… Le conte est très court, deux pages à peine, mais l’histoire est saisissante. Une ville est infestée de rats, un joueur de flûte propose ses services pour l’en débarrasser. Les notables lui promettent une somme importante s’il réussit. Au son de la flûte les rats suivent le musicien qui les amène jusqu’à une rivière où il les noie. Il revient pour réclamer son dû, mais les habitants ne lui donnent que la moitié de la somme promise. Le musicien, pour se venger, attire les enfants de la ville au son de son instrument et part avec eux dans les montagnes. « Des enfants il n’y avait plus trace et personne n’a jamais su ce qu’il en était advenu. » Replacer cette histoire dans notre monde contemporain est une manière d’aborder avec les enfants la complexité des choses, le fait que l’être humain est particulièrement doué pour créer des problèmes et se compliquer la vie.» Joachim Latarget
Organisé par
Transversales
1 place du marché couvert
55100 Verdun
03 29 86 10 10
Horaires
00:00